ASTER Production
présente
Un film de François Royet
Avec l'artiste Charles Belle
Avec l'artiste Charles Belle
AU CINÉMA
À l'affiche depuis 12 semaines !
Cinéma Saint André des Arts, Paris
DERNIÈRE SÉANCE
→ Dimanche 24 nov. à 15h15
Séance suivie d'une rencontre-discussion
avec le cinéaste François Royet et l'artiste Charles Belle.
30, rue Saint André des Arts, Paris 6e
À l'affiche depuis 12 semaines !
Cinéma Saint André des Arts, Paris
DERNIÈRE SÉANCE
→ Dimanche 24 nov. à 15h15
Séance suivie d'une rencontre-discussion
avec le cinéaste François Royet et l'artiste Charles Belle.
30, rue Saint André des Arts, Paris 6e
Cinéma Le Nuiton
Nuits-Saint-Georges, Côte-d'Or
→ Sam. 23 nov. à 20h30*
*Séance suivie d'une rencontre et dédicace
avec le cinéaste François Royet et l'artiste Charles Belle.
→ Sam. 30 nov. à 20h30
5 rue Thurot, 21700 Nuits-Saint-Georges
En partenariat avec la Librairie La page d'après.
Nuits-Saint-Georges, Côte-d'Or
→ Sam. 23 nov. à 20h30*
*Séance suivie d'une rencontre et dédicace
avec le cinéaste François Royet et l'artiste Charles Belle.
→ Sam. 30 nov. à 20h30
5 rue Thurot, 21700 Nuits-Saint-Georges
En partenariat avec la Librairie La page d'après.
CinÉtoile
Toucy, département de l'Yonne
→ Vend. 6 déc. à 19h30*
*Séance suivie d'une rencontre-discussion
avec le cinéaste François Royet.
→ Dim. 8 déc. à 17h30
Cinétoile
40 rue Paul Defrance, 89 130 Toucy
Toucy, département de l'Yonne
→ Vend. 6 déc. à 19h30*
*Séance suivie d'une rencontre-discussion
avec le cinéaste François Royet.
→ Dim. 8 déc. à 17h30
Cinétoile
40 rue Paul Defrance, 89 130 Toucy
AVANT-PREMÈRE
Musée du Louvre, Paris
Journées Internationales du Film sur l'Art
le Samedi 13 avril 2024 à 14h
Séance suivie d'une rencontre avec Charles Belle et François Royet.
Auditorium du Musée du Louvre, Paris 1e
Musée du Louvre, Paris
Journées Internationales du Film sur l'Art
le Samedi 13 avril 2024 à 14h
Séance suivie d'une rencontre avec Charles Belle et François Royet.
Auditorium du Musée du Louvre, Paris 1e
CONTACT DISTRIBUTION
Noémie PAYA
T : +33 7 86 200 200
noemiepaya@hotmail.fr
Noémie PAYA
T : +33 7 86 200 200
noemiepaya@hotmail.fr
CONTACT PRESSE
Mathilde Hadas
T : +33 6 82 09 45 17
hello@mathildehadas.fr
Mathilde Hadas
T : +33 6 82 09 45 17
hello@mathildehadas.fr
IMAGES PRESSE
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France ▪ 80 minutes ▪ Couleur ▪ Stéréo 2K ▪ DCP ▪ Langue : français ▪ Documentaire de création ▪ Sortie : 2024
SYNOPSIS
Seize années de tournage, une expérience cinématographique unique pour explorer les mystères de la création artistique.
Les images se construisent au rythme du geste de Charles Belle, dans son monde, dans la nature, ses lieux secrets, confidentiels, intimes, dans son silence.
L'homme dessine, peint, crée. L'engagement de l'artiste est total.
Seize années de tournage, une expérience cinématographique unique pour explorer les mystères de la création artistique.
Les images se construisent au rythme du geste de Charles Belle, dans son monde, dans la nature, ses lieux secrets, confidentiels, intimes, dans son silence.
L'homme dessine, peint, crée. L'engagement de l'artiste est total.
NOTE DE PRODUCTION
La démarche est unique, démesurée, à la limite de l’envisageable... Passer 16 années à traquer le moindre geste, le moindre regard, la moindre respiration, le moindre signe qui permettrait de révéler ce qui advient quand un artiste cherche, travaille, élabore une œuvre.
Errance habitée du peintre et du cinéaste pour tenter de sonder la donnée inconnue de l’équation de ce qui fait Art. Et cela sans aucun didactisme, presque sans aucun mot, dans une forme très accessible, universelle, presque enfantine, la langue du silence, celle qui ouvre les portes aux voyages intérieurs, à notre humanité profonde.
Ce film est une expérience à vivre, une exploration organique et sensorielle loin du chaos du monde. Ça fait un bien fou !
Sélection officielle FIPADOC 2023, Mifac 2023, Traces de Vies 2023, Festival du Film Ciné4 2023, Rencontres du film d’art de Saint-Gaudens 2024, Les Découvertes 2024 du Saint André des Arts. Avant-première au Musée du Louvre dans le cadre des Journées Internationales du Film sur l’Art 2024.
La démarche est unique, démesurée, à la limite de l’envisageable... Passer 16 années à traquer le moindre geste, le moindre regard, la moindre respiration, le moindre signe qui permettrait de révéler ce qui advient quand un artiste cherche, travaille, élabore une œuvre.
Errance habitée du peintre et du cinéaste pour tenter de sonder la donnée inconnue de l’équation de ce qui fait Art. Et cela sans aucun didactisme, presque sans aucun mot, dans une forme très accessible, universelle, presque enfantine, la langue du silence, celle qui ouvre les portes aux voyages intérieurs, à notre humanité profonde.
Ce film est une expérience à vivre, une exploration organique et sensorielle loin du chaos du monde. Ça fait un bien fou !
Sélection officielle FIPADOC 2023, Mifac 2023, Traces de Vies 2023, Festival du Film Ciné4 2023, Rencontres du film d’art de Saint-Gaudens 2024, Les Découvertes 2024 du Saint André des Arts. Avant-première au Musée du Louvre dans le cadre des Journées Internationales du Film sur l’Art 2024.
Charles Belle
Artiste
Biographie
Artiste
Biographie
François Royet
Cinéaste
Biographie
Biographie
Loue River Studio
Bernard Montrichard
Bande Originale
Bernard Montrichard
Bande Originale
Entretien avec François Royet
Vous avez filmé l'artiste Charles Belle pendant plus de 16 ans. C'est une expérience absolument hors normes. Pourriez-vous nous la décrire en quelques mots ?
Je ressens ce film comme une tentative, un voyage… une errance dans des territoires mystérieux.
Ma position pendant ces seize ans de tournage était d'essayer de filmer au mieux ce qui se jouait dans l’instant. Une grande humilité était indispensable car je ne pouvais pas anticiper ni même contrôler ce qui allait se passer.
Au montage, j'ai suivi le cheminement de chaque moment ayant permis d’arriver là où l’œuvre semble naître. Pour certaines œuvres, j’ai jusqu’à vingt-quatre heures de rushes triés… C'est une matière colossale qui renferme tout le processus de la genèse d'une œuvre. Entre la réalisation technique et l’impression finale, se trouve l’art. Ce qui se passe est indéfinissable, irrationnel, inexplicable. Je ne peux pas filmer cette chose concrètement, mais je peux tenter de la faire apparaître en creux.
Parvenir à partir de cette matière à révéler au spectateur l'enjeu que cela représente, c’est encore une autre étape. J'ai tenté de faire apparaître en quoi l'art dépasse l’intention de départ et le «savoir-faire» du peintre : cette part universelle qui fait naître à partir d'un geste, une œuvre d'art.
Je ressens ce film comme une tentative, un voyage… une errance dans des territoires mystérieux.
Ma position pendant ces seize ans de tournage était d'essayer de filmer au mieux ce qui se jouait dans l’instant. Une grande humilité était indispensable car je ne pouvais pas anticiper ni même contrôler ce qui allait se passer.
Au montage, j'ai suivi le cheminement de chaque moment ayant permis d’arriver là où l’œuvre semble naître. Pour certaines œuvres, j’ai jusqu’à vingt-quatre heures de rushes triés… C'est une matière colossale qui renferme tout le processus de la genèse d'une œuvre. Entre la réalisation technique et l’impression finale, se trouve l’art. Ce qui se passe est indéfinissable, irrationnel, inexplicable. Je ne peux pas filmer cette chose concrètement, mais je peux tenter de la faire apparaître en creux.
Parvenir à partir de cette matière à révéler au spectateur l'enjeu que cela représente, c’est encore une autre étape. J'ai tenté de faire apparaître en quoi l'art dépasse l’intention de départ et le «savoir-faire» du peintre : cette part universelle qui fait naître à partir d'un geste, une œuvre d'art.
Rencontre avec Charles Belle
Être filmé pendant plus de 16 ans dans cet endroit confidentiel et secret qu'est l'atelier, puis se voir à l'écran, comment l'avez vous vécu ? Est-ce que cette collaboration avec François Royet a influencé votre travail ?
Moi qui n'aime pas ma gueule, je suis servi ! Plus sérieusement, François et moi étions dans un engagement absolu, moi pour la peinture, lui pour le cinéma. Nous nous sommes rencontrés à cet endroit. Nos premières discussions portaient sur la question de la création. Comment se fait-il qu'une personne se mobilise pour créer ? C'est ça le point de départ de cette aventure. Ce que François filme à travers moi, c'est le mystère qui entoure le geste de créer. C’est la même énergie, le même mystère, qui conduit l’humain à peindre les parois de Lascaux il y a environ 20 000 ans ou à composer un opéra aujourd’hui. Ce qui pousse l’Homme à agir, à créer, ne peut pas être expliqué avec une approche rationnelle, technique ou matérielle.
Ce film est peut-être une tentative de côtoyer ces territoires poétiques. Nous ne sommes pas les seuls à nous interroger, il existe des centaines d'écrits sur ce sujet.
Pour ce qui concerne la présence de François dans l'atelier, je ne pense pas qu'elle ait influencé mon travail. Mes gestes n'étaient certainement pas les mêmes quand il était là, en revanche j'oubliais la caméra. La seule chose était que lorsque j'avais un projet un peu singulier, comme celui de faire venir un taureau dans mon atelier pendant 12 jours, je devais prévenir François pour qu'il soit présent. L'idée de faire venir un taureau à l'atelier, je ne peux pas expliquer d'où elle vient...
Moi qui n'aime pas ma gueule, je suis servi ! Plus sérieusement, François et moi étions dans un engagement absolu, moi pour la peinture, lui pour le cinéma. Nous nous sommes rencontrés à cet endroit. Nos premières discussions portaient sur la question de la création. Comment se fait-il qu'une personne se mobilise pour créer ? C'est ça le point de départ de cette aventure. Ce que François filme à travers moi, c'est le mystère qui entoure le geste de créer. C’est la même énergie, le même mystère, qui conduit l’humain à peindre les parois de Lascaux il y a environ 20 000 ans ou à composer un opéra aujourd’hui. Ce qui pousse l’Homme à agir, à créer, ne peut pas être expliqué avec une approche rationnelle, technique ou matérielle.
Ce film est peut-être une tentative de côtoyer ces territoires poétiques. Nous ne sommes pas les seuls à nous interroger, il existe des centaines d'écrits sur ce sujet.
Pour ce qui concerne la présence de François dans l'atelier, je ne pense pas qu'elle ait influencé mon travail. Mes gestes n'étaient certainement pas les mêmes quand il était là, en revanche j'oubliais la caméra. La seule chose était que lorsque j'avais un projet un peu singulier, comme celui de faire venir un taureau dans mon atelier pendant 12 jours, je devais prévenir François pour qu'il soit présent. L'idée de faire venir un taureau à l'atelier, je ne peux pas expliquer d'où elle vient...
LISTE TECHNIQUE
Réalisé par François Royet • Produit par Aster Production • Producteur délégué Patrick Faivre • Producteur associé Charles Belle •
Montage François Royet • Musique Studio Loue River • Compositeur Bernard Montrichard • Assistants tournage Pierre Jouille, Gérome Iachkine, Claude Tardy, Didier Rolot, Philippe Diaz • Deuxième caméra Christophe Farion • Chef opérateur relief Cyril Barbançon • Photographes de plateau Jean-Christophe Laurent, Pierre Jouille, Noémie Paya • Agent artistique Noémie Paya •
Affiche Pascal Sanchez • Responsable juridique Dimitri Bélot
Réalisé par François Royet • Produit par Aster Production • Producteur délégué Patrick Faivre • Producteur associé Charles Belle •
Montage François Royet • Musique Studio Loue River • Compositeur Bernard Montrichard • Assistants tournage Pierre Jouille, Gérome Iachkine, Claude Tardy, Didier Rolot, Philippe Diaz • Deuxième caméra Christophe Farion • Chef opérateur relief Cyril Barbançon • Photographes de plateau Jean-Christophe Laurent, Pierre Jouille, Noémie Paya • Agent artistique Noémie Paya •
Affiche Pascal Sanchez • Responsable juridique Dimitri Bélot
Contacter l'équipe du film
Noémie Paya (Agent artistique)
+33 7 86 200 200
noemiepaya@hotmail.fr
15 Grande rue — 25870 Tallenay
FRANCE
© Charles Belle — Adagp Paris 2024